Makhzen
Ce communiqué de presse qui confirme le complot qui se trame contre l’Algérie

Nous apprenons qu’un communiqué de presse circule qui attaque l’Algérie dans de nombreux médias espagnols, tels que La Vanguardia, El-Independiente, et dans plusieurs sites espagnols comme Servimedia et, bien sûr, dans les outils de propagande habituels du Makhzen qui n’en ratent pas une pour cracher leur venin sur notre pays.
Selon ce communiqué, plusieurs rapports de l’UE, ainsi que des informations divulguées par le journal Le Monde et CNN, et un rapport de l’Institut Coordinates of Governance and Applied Economics indiquent que «l’alliance entre la Russie, l’Algérie et l’Iran pour contrôler le Sahel est une source de tensions politiques croissantes, ce qui préoccupe beaucoup l’Union européenne et les Etats-Unis». D’après ces rapports, «le régime algérien aurait l’intention de faciliter l’installation de bases militaires russes au Sahel avec l’aide de l’Iran».
Lire la suite »Du Parlement à la Commission : l’affaire du Marocgate prend de l’ampleur

Le 27 février dernier, le peuple du Sahara Occidental fêtait le 47e anniversaire de la proclamation de la République arabe sahraouie démocratique. 47 ans d’oppression du régime colonial marocain sur le peuple sahraoui, 47 ans de pillage des richesses sahraouies avec la complicité des pays, notamment européens, comme l’Espagne et la France, et d’autres encore, tout le monde s’empiffrant sans scrupule du festin. Mais ce sont aussi 47 années de résistance des Sahraouis contre le régime féodal du Maroc qui sont venues s’ajouter à toutes celles consacrées à la lutte contre l’Espagne pour recouvrer leur droit légitime à la pleine jouissance de leur territoire. La résistance est une lutte de chaque instant et les dizaines de menaces que subissent quotidiennement les militants sahraouis, hommes ou femmes, en sont la preuve. Les militants qui sortent de prison après dix, quinze, ou vingt ans de détention sont épuisés par les années de torture et d’isolement, sans parler de ceux qui disparaissent et que l’on ne retrouve jamais. Comme nous l’avons déjà dit à maintes reprises, ce n’est pas par hasard si l’entité voyou du Maroc s’entend si bien avec l’entité sioniste d’Israël : elles ont été créées artificiellement par la volonté des puissances impérialistes et fonctionnent exactement de la même manière, en opprimant les populations dont elles occupent indûment le territoire pour le piller.
Lire la suite »Le Makhzen dans la tourmente du Marocgate

Nous assistons à une véritable dégringolade du Makhzen marocain qui voit ses principaux sbires poursuivis par la justice belge suite aux aveux du désormais «repenti» Pier Antonio Panzeri, qui s’est mis à table devant le juge Michel Claise et qui déballe tout ce qu’il sait. Il faut dire que depuis les années que Panzeri travaille pour le royaume de la prostitution, de la pédophilie, du cannabis et de la corruption, il a bien des choses à raconter. C’est ainsi que plusieurs ressortissants marocains font l’objet d’un mandat d’arrêt déposé par le Parquet belge auprès des autorités françaises. Ils sont susceptibles d’être arrêtés s’ils viennent en France où vivent leurs enfants et où ils ont un pied-à-terre. Parmi eux, citons Abderrahim Atmoun, l’ambassadeur marocain à Varsovie, qui a été président de la commission parlementaire mixte Maroc-UE entre 2011 et 2019 et qui s’est spécialisé dans les enveloppes et les paquets cadeaux, citons aussi Yassine Mansouri, le patron de la DGED (service de renseignement extérieur marocain), qui chapeautait cette énorme affaire de corruption en tirant les ficelles derrière le rideau, et Mohamed Belharch, l’un de ses agents déjà bien connu pour ses frasques en Europe, notamment dans les années 2010, lorsque son épouse Naima Lamalmi était copropriétaire avec la femme d’un autre agent, Noureddine Ziani, d’une agence de voyages près de Barcelone, Aya Travels Tours, qui servait de laverie pour blanchir de l’argent. Naziha El Montasser, épouse du secrétaire général du Conseil de la communauté marocaine à l’étranger, Abdallah Boussouf, était la troisième larronne de cette amicale de nettoyage dans laquelle transitaient plus de 2 millions d’euros par an.
Lire la suite »Sale temps pour le régime expansionniste et prédateur du Makhzen

Le 19 janvier 2023 est une date à marquer d’une pierre blanche dans l’agenda du Parlement européen. En effet, celui-ci, secoué par le gigantesque scandale de corruption désormais connu sous l’appellation Marocgate, a décidé de tenter de retrouver sa virginité en votant une résolution à l’encontre du Maroc. Avec 356 voix pour, 32 contre et 42 abstentions, les eurodéputés ont condamné le Maroc pour ses atteintes à la liberté de la presse et aux droits de l’Homme, notamment concernant plusieurs journalistes et opposants rifains emprisonnés et torturés, ainsi qu’à son usage du logiciel espion Pegasus pour espionner notamment les journalistes.
Le Parlement demande, en outre, aux Etats membres de cesser d’exporter des technologies de surveillance vers le Maroc. La présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, a interdit l’entrée de l’Eurochambre aux représentants du Maroc jusqu’à ce que l’enquête pour corruption du Marocgate soit terminée, mais une délégation s’est quand même rendue à Strasbourg pour tenter d’influencer le vote contre le Maroc. Le royaume de Bousbir qui n’avait plus été inquiété de cette façon depuis un quart de siècle, grâce aux enveloppes qu’il distribuait à certains députés qu’il avait corrompus, a reçu une véritable gifle. Et la délégation marocaine qui avait été envoyée à Strasbourg pour tenter d’influer une fois de plus sur le vote a, pour la première fois depuis des lustres, fait chou blanc.
Lire la suite »Ma réponse au sieur Driencourt et consorts

Depuis quelques jours, l’Algérie est au centre d’un tir croisé provenant de toutes les sphères du pouvoir français et ses relais médiatiques, intellectuels et même sportifs, attaques cautionnées par certains individus d’origine algérienne qui revendiquent fièrement leur statut de bougnoules colonisés au service de Fafa. Tout cela sur fond de Marocgate qui n’a pas fini de nous remonter des profondeurs océanes au large de Dakhla des poissons frétillants tombés dans les filets des différents Parquets européens. Mais laissons travailler la justice et penchons-nous sur les différentes déclarations des uns et des autres qui, étrangement, arrivent toutes au même moment. Or, il n’y a pas de place pour le hasard en politique, surtout quand, comme la France, on est au bord de l’abîme. Car c’est bien de cela qu’il s’agit.
Lire la suite »Enquête – Marocgate : les liaisons dangereuses entre l’UE et le Makhzen (I)

Bien que tout ait commencé avec une enquête de corruption liée au Qatar qui a permis à la police belge de saisir plus de 1,5 million d’euros dans une vingtaine de résidences et bureaux, les enquêteurs se sont aperçus que ce qu’on a appelé le Qatargate n’était que le sommet d’un gigantesque iceberg. Le Parquet se focalise à présent sur la partie immergée, c’est-à-dire l’influence tentaculaire du Maroc au sein du Parlement européen. Et de fait, le Marocgate n’en finit pas de faire des vagues au niveau mondial et chaque jour apporte son lot de révélations. C’est un véritable séisme qui secoue les fondements des institutions européennes et l’on comprend que cette affaire de corruption pour laquelle la vice-présidente du Parlement européen, Eva Kaili, ainsi que son compagnon, l’assistant parlementaire Francesco Giorgi, l’ex-eurodéputé Pier Antonio Panzeri, et le lobbyiste Niccolo Figa-Talamanca, sont incarcérés, est bien plus vaste que ce que l’on imaginait.
On peut effectivement considérer cette affaire comme le scandale du siècle, car le degré d’implication du régime marocain dans cette affaire de corruption au Parlement européen et à la Commission est bien plus important et bien plus dangereux que ne l’imaginaient les enquêteurs belges qui s’aperçoivent que l’influence marocaine sur des politiciens et fonctionnaires européens remonte à plusieurs années. Nous sommes donc aujourd’hui devant une enquête portant sur des délits de «corruption», «blanchiment d’argent» et «appartenance à une organisation criminelle». Rien de moins ! Et il s’avère que plus on fouille, plus on découvre des cas d’espionnage et de corruption où sont impliqués d’innombrables acteurs dont des personnalités politiques de haut rang. Nous sommes littéralement face à une nébuleuse aux nombreuses ramifications et les institutions européennes, déjà bien fragilisées par les décisions arbitraires d’Ursula von der Leyen dont nous avons déjà évoqué dans un précédent article les nombreux conflits d’intérêt et faits de corruption qui entachent sa carrière, risquent de ne pas s’en remettre. La fonction de politicien en Europe est désormais marquée du sceau de la honte.
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